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Couture apparente
“L’entomologie, Obâ-san. C’est un peu l’esprit des morts, aussi.”
Elle a un petit rire de gorge et ses joues se colorent mais elle ne relèv
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Droit au deuil
“Ta jambe ne va pas mieux ?”
“C’est lourd, un gymnase. J’en ai pour trois mois, si je ne fais pas le con.”
“J’en déduis donc que tu es en
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Pas les mots
Il faudrait que j'arrête de faire ça, ça me fatigue, ça inquiète ôka-san et ça fait peur aux médecins. Assise dans le jardin de l'hôpital, sur le banc, je joue avec mes shiki. Autour de moi, le monde n'a pas changé, il est juste un peu plus figé. Les gens qui passent le sentent, sans le voir et contournent, me jettent un regard rapide avant de détourner les yeux. Ils ne savent pas ce que c'est qu'un kekkaï mais leur instinct leur souffle qu'ils ne doivent pas s'en approcher.